11 mars 2006
à la clairière...
Mes doigts frôlent le corps frêle de cette frileuse Nous sommes Loin des foules, près des frênes Dans une clairière fraîche Une foret en friche autour… Seuls dans cet endroit propice Nous faisons le plein des sens Et les corps s’allongent ensemble Ne te retiens pas, les oiseaux couvriront nos ébats Après ces moments d’extase Atteint par notre union en phase Nous irons nous baigner à la rivière Et nous nous reverrons demain à la clairière
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